Choc des savoirs : affichage politique et moyens inexistants

Choc des savoirs : affichage politique et moyens inexistants - SNCL

Avec 700 millions d'euros retirés du budget de l'Education nationale, comment croire encore que l'école soit une "priorité absolue" de ce gouvernement ?

Retrouvez notre dossier complet sur le choc des savoirs, pour tout comprendre des enjeux multiples de cette réforme et du manque de moyens sidérant qui l'accompagne.

 

Nos autres articles sur le sujet : 

Le "choc des savoirs" au lycée : quelles conséquences ?

Vers la fin du collège uniforme ?

 

  

Nomination de Nicole Belloubet : agir d'urgence face aux groupes de niveau

Norman Gourrier sur BFMTV

Norman Gourrier, secrétaire général du SNCL, a réagi sur BFMTV à la nomination de Nicole Belloubet au ministère de l'Éducation nationale.

« C’est d’abord un soulagement que de retrouver un ministre de plein exercice. »

« Mais nous avons avec les groupes de niveau un problème à résoudre de toute urgence. Les établissements sont confrontés à l’absurde, avec des moyens en berne et des fermetures de postes, alors que dans le même temps on leur demande de mettre en place ces groupes »

Le SNCL demande un moratoire d’un an sur cette réforme, pour se donner les moyens de la penser de manière réaliste.

Mouvement 2024 : fin de l'inter, début de l'intra !

Mouvement 2024 : fin de l'inter, début de l'intra ! - SNCL
Chaque académie lance les opérations cette semaine pour la phase intra 2024 : il est temps d'ajuster vos voeux pour votre affectation l'an prochain, ou de formuler un recours si le résultat de la phase inter ne vous convient pas. 
 
 

Coup de projecteur sur la situation en Outremer

Coup de projecteur sur la situation en Outremer - SNCL

Les annonces concernant les groupes de niveau s'ajoutent à des suppressions de postes massives qui rendent la situation intenable en Outremer, où les difficultés sont déjà nombreuses. 

Le SNCL appelle le ministère et les rectorats concernés à trouver une solution rapide pour corriger ces inégalités inacceptables.

Retrouvez ici notre analyse complète sur la situation en Outremer.