Home » NOS DOSSIERS

NOS DOSSIERS

INFOS / Les examens et diplômes sont l’affaire de tous !

Après une année scolaire en dents de scie, le ministère a décidé, envers et contre tous, de maintenir dans des conditions dégradées les examens du baccalauréat et du brevet.

Il a refusé de prendre ses responsabilités et laisse chaque établissement s’organiser, créant ainsi une rupture d’égalité des élèves candidats devant l’instruction. Le Grand Oral est en soi seul une épreuve inégalitaire et arbitraire mise en place par le ministre contre la volonté des personnels. Son maintien cette année alors qu’il n’a pas pu être préparé dans de bonnes conditions et de façon équitable est inacceptable. Le caractère subjectif de la grille d’évaluation et le manque de formation des membres des jurys posent question et vont accentuer le caractère inégalitaire de cette nouvelle épreuve mal préparée et improvisée. Par ailleurs, le ministre a généralisé la numérisation des copies. Il a décidé autoritairement que les copies de philosophie seraient numérisées au mépris des exigences de la discipline et des correcteurs et correctrices qui vont devoir traiter 130 copies chacun environ dans un délai extrêmement court ! Le résultat de leur correction ne sera d’ailleurs même pas toujours pris en compte puisque la note de contrôle continu sera conservée en cas de mauvaise note à l’examen, ce qui crée une inégalité supplémentaire.

Le SNCL soutient totalement les revendications que les enseignants ont exprimées et exige avec eux :

  • l'abandon du Grand Oral,
  • la possibilité de corriger les copies papiers,
  • des missions de surveillance se limitant à une charge normale d'emploi, notamment par l'amplitude horaire et le respect de la pause méridienne.
  • le retour à une évaluation terminale égalitaire pour le baccalauréat, seule façon de redonner de la valeur à ce diplôme.
  • l’engagement solennel du ministre de rétablir en 2022 les épreuves anonymes et nationales du baccalauréat.
Le SNCL appelle à mettre en discussion ces revendications dans les heures d'information syndicale et en assemblées générales dans tous les établissements.
Après une année scolaire en dents de scie, le ministère a décidé, envers et contre tous, de maintenir dans des conditions dégradées les examens du baccalauréat et du brevet.

Il a refusé de prendre ses responsabilités et laisse chaque établissement s’organiser, créant ainsi une rupture d’égalité des élèves candidats devant l’instruction. Le Grand Oral est en soi seul une épreuve inégalitaire et arbitraire mise en place par le ministre contre la volonté des personnels. Son maintien cette année alors qu’il n’a pas pu être préparé dans de bonnes conditions et de façon équitable est inacceptable. Le caractère subjectif de la grille d’évaluation et le manque de formation des membres des jurys posent question et vont accentuer le caractère inégalitaire de cette nouvelle épreuve mal préparée et improvisée. Par ailleurs, le ministre a généralisé la numérisation des copies. Il a décidé autoritairement que les copies de philosophie seraient numérisées au mépris des exigences de la discipline et des correcteurs et correctrices qui vont devoir traiter 130 copies chacun environ dans un délai extrêmement court ! Le résultat de leur correction ne sera d’ailleurs même pas toujours pris en compte puisque la note de contrôle continu sera conservée en cas de mauvaise note à l’examen, ce qui crée une inégalité supplémentaire.

Le SNCL soutient totalement les revendications que les enseignants ont exprimées et exige avec eux :

  • l'abandon du Grand Oral,
  • la possibilité de corriger les copies papiers,
  • des missions de surveillance se limitant à une charge normale d'emploi, notamment par l'amplitude horaire et le respect de la pause méridienne.
  • le retour à une évaluation terminale égalitaire pour le baccalauréat, seule façon de redonner de la valeur à ce diplôme.
  • l’engagement solennel du ministre de rétablir en 2022 les épreuves anonymes et nationales du baccalauréat.
Le SNCL appelle à mettre en discussion ces revendications dans les heures d'information syndicale et en assemblées générales dans tous les établissements.

PROTECTION SOCIALE COMPLEMENTAIRE : ENFIN UN CALENDRIER !

PROTECTION SOCIALE COMPLEMENTAIRE : ENFIN UN CALENDRIER ! - SNCL

Deux ordonnances du 17 février 2021 viennent organiser la prise en charge partielle des frais de complémentaire santé des fonctionnaires. Mais ces prises en charge pourraient varier d'une académie à l'autre en vertu d'accords collectifs locaux soumis à l'approbation des ministres du budget et de la fonction publique.

 

L'employeur participera donc à au moins 50 % des frais de complémentaires pour, selon la formulation légale :

  1. La participation de l'assuré aux tarifs servant de base au calcul des prestations des organismes de sécurité sociale, pour les prestations couvertes par les régimes obligatoires ;
  2. Le forfait journalier ;
  3. Les frais exposés, en sus des tarifs de responsabilité, pour les soins dentaires prothétiques ou d'orthopédie dentofaciale et pour certains dispositifs médicaux à usage individuel admis au remboursement.

 

Mais ce ne sera que pour le 1er janvier 2024 dans la Fonction publique d'état !

Dans l'attente et à compter du 1er janvier 2022 l'état doit vous rembourser « une partie » - terme bien imprécis pour une ordonnance !- du montant de vos cotisations de protection sociale complémentaire destinées à couvrir les frais occasionnés par une maternité, une maladie ou un accident.

 

Cependant, en vertu d'une nouvelle ordonnance sur le dialogue social, en matière de protection sociale complémentaire, de mise en œuvre des politiques indemnitaires, du déroulement des carrières et de la promotion professionnelle des « accords » locaux peuvent désormais être signés par une ou des organisations syndicales qui représenteraient au moins 50 % des suffrages exprimés aux élections professionnelles

 

Le SNCL reconnaît que certains territoires de la république, notamment ultra-marins, ont des spécificités qui méritent certainement une attention particulière qui pourraient se traduire dans des « accords » mais seulement si le cadre réglementaire général est respecté.

En revanche, le SNCL s'étonne qu'en matière de protection sociale complémentaire, la responsabilité du ministre des solidarités et de la santé ne soit pas engagée.

Enseignants et télétravail dans la fonction publique : comment ça marche

Enseignants et télétravail dans la fonction publique : comment ça marche - SNCL

Alors qu'une nouvelle période de fermeture d'établissements s'impose dans l'Education nationale, le SNCL fait pour vous le point complet sur l'état actuel de la législation concernant le télétravail et les enseignants.

Loi confortant le respect des principes républicains : le compte n'y est pas !

Loi confortant le respect des principes républicains : le compte n'y est pas ! - SNCL

Le 30 mars, le Sénat examinera le projet de loi confortant le respect des principes républicains, adopté par l'Assemblée nationale. Le SNCL analyse son contenu au regard de ses 14 revendications pour la défense de la laïcité.

9 décembre 1905 - 9 décembre 2020 : défendre sans relâche la laïcité

9 décembre 1905 - 9 décembre 2020 : défendre sans relâche la laïcité - SNCL

54 jours après l'assassinat de notre collègue d'histoire-géo, perpétré à Conflans-Ste-Honorine, le SNCL s'engage encore une fois pour la défense de la laïcité dans notre pays. 14 revendications pour changer les choses, dès maintenant.